Des milliers de personnes marchent pour le climat au Brésil
Des milliers de personnes ont marché dans les rues de Belém, au Brésil, samedi. Elles voulaient aider la planète. La ville accueille une grande réunion sur le climat appelée COP30.
Il faisait très chaud. La température était de 30 degrés. L'humidité donnait l'impression qu'il faisait 35 degrés. Mais les gens ont marché quand même.
Beaucoup de groupes différents ont participé à la marche. Il y avait des peuples autochtones, des jeunes et d'autres activistes. Ils ont chanté des chansons et joué de la musique. Ils portaient des panneaux et des bannières.
Les gens sont en colère contre les gouvernements et les compagnies pétrolières. Ils veulent de l'action pour arrêter le changement climatique. Ils veulent protéger la nature.
La manifestante autochtone Raquel Wapichana a voyagé neuf heures pour être là. Elle veut protéger sa terre et ses rivières. Elle dit que les mines et les grandes fermes menacent son peuple.
Les manifestants ont fait des choses créatives. Certaines personnes ont porté un grand serpent de 30 mètres dans les rues. Le serpent est un animal sacré pour les peuples autochtones de l'Amazonie.
D'autres personnes ont organisé des « funérailles pour les énergies fossiles ». Elles portaient des vêtements noirs et portaient de grands cercueils. Les cercueils disaient « charbon », « pétrole » et « gaz ».
C'était la première grande manifestation lors d'une réunion sur le climat en quatre ans. La dernière était à Glasgow, en Écosse.
À l'intérieur du lieu de réunion, les dirigeants mondiaux parlent des problèmes climatiques. Ils doivent prendre des décisions sur l'argent et la réduction de la pollution.
Les manifestants veulent que les dirigeants fassent plus. Ils veulent une action réelle, pas seulement des promesses.